De la portée de ce qui nous meut

À travers un cas clinique nous proposons de considérer le processus de création comme un agent intensificateur de l’errance propre à toute tentative de cheminer vers soi-même. Nous verrons comment l’étendue, générée par les mouvements du patient-errant qui n’en finit pas d’en tracer la situation vivante, est à la fois la matérialisation d’un champ de possibles, la spatio-temporalité figurée et la cartographie qui consigne le chemin faisant.

Auteur
Marion Lefebvre
Art-thérapeute, photographe
mlefebvre.psy@gmail.com
Référence
RA016-19
Errances
Journées de Printemps 2021
Catégories
art-thérapie, psychologie, cinéma, musique
Noms propres
Duchamp M., Hergé, Caravage M., Sadoul N.
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