La fenêtre d’angle de mon cousin, kaléidoscope du soi créateur
Depuis un chevet de souffrance bientôt repli d’agonie puis lit de mort, E.T.A. Hoffmann, paralysé jusqu’à la moelle par un tabes dorsalis qui le prive du geste d’écrire, dicte encore à son épouse Michaëlina. Parmi ses derniers contes, La fenêtre d’angle de mon cousin, s’efforce, dans une superbe envolée didactique,…