L’Autogreffe : au risque de l’altérité et de l’étranger ?
On pourrait penser que, dans l’autogreffe d’une part de corps propre — telle la replantation d’un membre sectionné — ne se pose pas la question de l’altérité et de la présence de « l’étranger en soi », d’un « corps étranger », d’un « non-moi ». Ce qui peut s’exprimer…