Le dramathérapeute-passeur, un médium malléable
J’aime à penser que mon rôle de dramathérapeute est d’être plutôt passeur que meneur. Passeur de gués, d’obstacles, de ponts, de limites et de frontières, cheminant côte à côte, à la même hauteur, en proximité, dans un rythme commun, prenant autant de risques que les personnes accompagnées dans les traversées…